Tout un été d’écriture, de juin à septembre, quatre mois pour construire une ville avec des mots, tous ensemble, chantier collaboratif et quasi quotidien...
PROPOSITIONS #31 à #40
4e cycle : route des utopies
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Tout un été d’écriture, de juin à septembre, quatre mois pour construire une ville avec des mots, tous ensemble, chantier collaboratif et quasi quotidien...
PROPOSITIONS #31 à #40
4e cycle : route des utopies
Tout un été d’écriture, de juin à septembre, quatre mois pour construire une ville avec des mots, tous ensemble, chantier collaboratif et quasi quotidien...
PROPOSITIONS #11 à #20
2e cycle : flottements, renverses
Est-ce que j’ai fait le bon choix ? Tout ça est trop fort. J’ai mal au crâne. Ce serait ça mon nouveau monde ?
Je sens malgré la chaleur ambiante les rayons du soleil sur mon visage.
Ma chérie,
J’espère que ce message te parviendra. Je ne sais pas quand, ni où tu seras… Dès maintenant ? Bien plus tard ? Peut-être l’as-tu déjà reçu.
PROPOSITION
« Le but, ou la cible, résolument : comment se forme et se solidifie une intuition, comment l’intuition ne donne pas de suite les pistes du travail, et puis qu’à un moment donné cela bascule, et on n’est plus absorbé que par la fabrication, le temps matériel du « faire », le verbe étant ici l’élément central ». En se concentrant sur deux textes de Marguerite Duras, qui a parfois fait de la question même du faire l’objet central d’un projet, « Le bloc noir », dans Vie matérielle, et « Comment j’ai fait. » issu des Notes pour rien, partons explorer ce faire, ce pré-faire.
Tout un été d’écriture, de juin à septembre, quatre mois pour construire une ville avec des mots, tous ensemble, chantier collaboratif et quasi quotidien...
PROPOSITIONS #21 à #30
3e cycle : constructions, géométries
Tout un été d’écriture, de juin à septembre, quatre mois pour construire une ville avec des mots, tous ensemble, chantier collaboratif et quasi quotidien...
PROPOSITIONS #1 à #10
cycle d’ouverture, un retour
PROPOSITION
"Le projet : identifier l’intuition de ce qui pour chacun de nous est le territoire du livre à venir, le point tremblant du récit.
Accepter que cette intuition soit fondée sur très peu, ne nous laisserait pas commencer d’écrire.
Et travailler alors sur tout ce qui progressivement va nous relier à elle. Démarches, recherches, souvenirs, lieux, documentation : la marche qui doit solidifier notre chemin vers le récit va devenir ce récit lui-même..."
PROPOSITION
"On va s’appuyer sur un texte parfaitement jeune, même à échelle de ses 40 ans passés, les Leçons de choses de Claude Simon.
Deux paragraphes : un premier paragraphe qui va tenter d’aller le plus au bout possible, le plus exhaustivement possible, de ce qui apparaît dans un cadre ; et un deuxième paragraphe où on aura rajouté un tout petit ébranlement temporel, un personnage effectue une action."
PROPOSITION
Dans W ou le souvenir d’enfance (L’imaginaire Gallimard), Georges Perec évoque, notamment, ses souvenirs de lectures sous la formule « J’ai trois souvenirs d’école ». Ou les dérives de la mémoire, ses associations, ses recompositions...
Partons à notre tour vers ce voyage à contre courant : « J’ai trois souvenirs de films ».